Escroquerie: Le cri de coeur d'un ivoirien de la diaspora, grugé par le sénateur Ekissi Behou en complicité avec le préfet d'Agboville

  • publiè le : 2020-06-15 11:08:46
  • tags : escroquerie: - coeur - ivoirien - diaspora -  - grugé - sénateur
Escroquerie: Le cri de coeur d'un ivoirien de la diaspora, grugé par le sénateur Ekissi Behou en complicité avec le préfet d'Agboville
Escroquerie: Le cri de coeur d'un ivoirien de la diaspora, grugé par le sénateur Ekissi Behou en complicité avec le préfet d'Agboville

Après avoir investi près de 100 millions de francs Cfa dans la réfection et l?équipement de l?ex-hôtel « La Kavi » rebaptisé « Malthus II » et enfin les hôtels « La Kokette », le repreneur, Alexis Koké, ne pourra pas jouir des fruits de son labeur, de son investissement. Cet établissement a été fermé par arrêté du préfet d?Agboville par la faute du sénateur Ekissi Behou qui a mis toute son intelligence à multiplier les entraves à la bonne marche de ce complexe. L?opérateur économique venu de Paris, a été simplement et abusivement grugé par l?élu de l?Agneby-Tiassa certainement avec la complicité de personnalités haut placées. Les faits qui suivent vont le démontrer.

Les malheurs d?Alexis Koké commencent un matin du 2 février 2019 alors qu?il se trouvait en France. Ce jour-là, il est informé par un ami de la mise en location de deux hôtels à Agboville. Il se dit intéressé et rentre dare-dare au pays puis Agboville pour rencontrer le responsable pour affaire. Après la visite des lieux, ils tombent d?accord sur 2 millions de loyers sur une durée de 10 ans pour le seul hôtel « La Kavi » devenu « Malthus II) mais à condition que le propriétaire prenne en charge la réhabilitation de la piscine, la boîte de nuit et l?étanchéité du 3è étage dont la dalle coule. L?autre, « Malthus I » ne l?intéressant pas. Ekissi Behou refuse mais finit par accepter de donner une participation de 10 millions de francs Cfa pour seulement la piscine dont le devis s?élevait à 16 millions.

« On lui propose d?apprêter le contrat pour qu?on aille chez un notaire, il a refusé arguant que cela reviendrait cher », informe l?opérateur. « Non mon enfant, vous me voyez en train de faire du faux ? Si c?était le cas, je n?allais pas vous donner 10 millions comme participation. Pour vous dire que je suis honnête, je vous remets la photocopie de ma carte nationale d?identité, faites le contrat, je viendrai signer », lui aurait promis le sénateur. « J?étais un peu réticent mais mon épouse était convaincue. On a décidé de commencer les travaux », poursuit Alexis Koké.



A voir egalement

Publicité
Publicité