Mademoiselle Alimata Sandia Haidara,militante du RDR.

Chargée de communication du S.G.A. chargé de la mobilisation, de sécurité et du maintien d'ordre;

Membre du Secrétariat National chargé de la communication et de l'information numérique (SNCIN);

Membre du secrétariat chargé de la jeunesse féminine du RFR.


La jeunesse ivoirienne s'affiche dans cet imbroglio politique oú les anciens peuvent ou tentent de les dévorer à tout bout de champ.

Quant à la jeunesse féminine, on pourrait bien se poser toute une kyrielle de préoccupations.

C'est le cas de Mlle Alimata Sandia qui a flirté avec la politique dépuis son bas âge, au lycée Felix

Houphouët Boigny de Korhogo. Du coin de l'oeil elle observait sa mère qui était déjà son idole.

Son engagement politique a véritablement commencé en 2009 alors qu'elle était à l'université de Bouake oú elle a obtenu la Maitrise en Sciences Eco et le Master en Finances .

Elle n'avait pensé, encore moins imaginé que sa passion pour la politique l'emmènerait à parcourir la Cote d'Ivoire sur les traces du Président Alassane Ouattara, pour qui elle se réclame (une inconditionnelle Alassaniste).

Selon ses dires, la politique s'est imposée à elle et elle en a découvert une passion, mais une passion

mesurée.

Cependant elle veut se démarquer de cette tranche féminine qui n'ose pas, qui a souvent eu peur mais qui ne manque pas d'ambition, car l'avenir de la Cote d'Ivoire doit se jouer avec la participation de la femme dans tous les secteurs y compris la politique.

Pour cela, lorsqu'une femme s'engage, il lui faut beaucoup de courage, de volonté et surtout de détermination. Elle trouve dommage que pour progresser politiquement, même si tu as du potentiel, il te faut absolument un parrain politique.

Aux jeunes dames, Mlle Alimata leur demande de se lever et de démontrer leur capacité politique et

surtout de ne pas céder aux tentations (comme l'exploitation de la femme avant de lui ouvrir des

portes).

Son admiration pour le Président Alassane l'a conduit à travers la Cote d'Ivoire, à faire campagne pour sa réélection.

Aujourdhui, elle dit n'avoir aucun regret car elle s'est engagée aux côtés d'un homme, d'un politique qui incarne un exemple de motivation et un symbole d'acharnement au travail. C'est d'ailleurs ce qui lui a valu le Pseudo de « ADO LE BATISSEUR »