Guiglo: Un vieil homme de 70 ans viole des écolières de 7 et 10 ans

  • publiè le : 2018-02-05 17:08:46
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Guiglo: Un vieil homme de 70 ans viole des écolières de 7 et 10 ans

(Photo d'archives pour illustrer l'article)

Les cas de viol se succèdent à un rythme franchement inquiétant, à Guiglo. Le dernier en date, remonte au samedi 27 janvier 2018.

Deux fillettes, âgées respectivement de 7 et 10 ans, ont été sexuellement agressés par un septuagénaire qui fait partie de la catégorie des indignes sages de nos contrées. Lui, l'odieux vieillard, qui a précocement fait perdre leurs précieux hymens à ces mômes.

A en croire nos sources, ce samedi-là, N.G., 10 ans, élève en classe de Cm1 et sa cousine G.A., 7 ans, en classe de Ce1, éprouvent la forte envie de déguster de la canne-à-sucre.

A cet effet, elles décident de se rendre chez le vieux Oulaï Jean, 70 ans, tisseur de feuilles de palmier, communément appelées ''Papo''. Lui, il a planté de la canne-à-sucre dans sa cour, au quartier ''Séa Yoro 2 Port-Bouët'', à Guiglo. Il est environ 16h, quand les gamines débarquent au domicile du vieil homme.



Ce dernier, assis sur une natte, est en train de tisser ses ''papo''. C'est la vente de ces pailles, servant à couvrir les toitures des maisons, qui lui permet d'assurer ses charges à lui tout seul. Sa femme et ses six enfants, l'ayant abandonné, pour sa propension à la violence.

Lorsque les gosses lui expriment leur besoin, l'homme ne voit aucun inconvénient à accéder à leur demande. Puis, les fillettes coupent une canne-à-sucre. C'est suffisant à leur bonheur. Et tout près, elles n'entendent pas abuser de la gentillesse du vieil homme, vivant seul.

Mais alors que N.G. Et G.A. s'emploient à quitter les lieux, Oulaï Jean les interpelle. Et d'un air affable, il dit : « Revenez mes petites filles. Ce que vous venez de couper n'est pas suffisant. Allez à l'intérieur de ma maison et ramenez-moi ma machette. Je vais couper beaucoup de cannes-à-sucre que vous remettrez à vos parents de ma part ».

En fait, ce vieillard, sevré de sexe depuis le départ de sa femme, a la libido brûlante. Alors, les deux gamines sont justement « l'eau avec laquelle, il va éteindre son feu ». Naïvement les deux fillettes s'exécutent. C'est le pain béni qu'attendait le vieux.

Tel un félin, il bondit et rejoint les enfants à l'intérieur de sa mansarde, puant la crasse. Devenu subitement brutal, il pousse l'aînée des gamines sur son lit et lui arrache ses dessous, d'un tour de main. Il sort ensuite son ignoble sexe et viole N.G., pleurant de douleur. Et cela, sous les yeux de sa petite cousine.

Insatisfait, le vieillard qui veut s'offrir une révoltante partouze, se rue cette fois, sur G.A. Il tente de la pénétrer, mais n'y arrive pas. Cependant, le sadique ne lâche pas prise. Il use de son doigt qu'il imbibe de salive et l'enfonce dans le sexe de la gosse. La déflorant, malgré ses pleurs.

Les gamines, libérées des mains du monstre, quittent la scène de leur viol et foncent à la maison. Et malgré les menaces du criminel dont elles se souviennent, elles dévoilent tout à leurs parents. Ces derniers, écoeurés, conduisent immédiatement les fillettes à l'hôpital, où la perte brutale de leurs hymens, est confirmée.

A la suite de la plainte des parents des victimes, le commissaire Laurent Jean-Marc, patron du commissariat de police de Guiglo, lance ses hommes aux trousses du violeur présumé. Et Oulaï Jean, dont l'acte va choquer plus d'un dans la ville, est chopé à son domicile.

Interrogé dans les locaux de la police, sur les raisons de son acte incroyable, le pervers va balancer une explication qui écoeure davantage. « Ce sont les sorciers de mon village qui me font ça. Ils veulent me nuire, ils veulent ma mort, parce que j'ai refusé de leur livrer un de mes enfants, pour en faire leur festin ! ». Voici donc sa ridicule ligne de défense qui n'émeut guère, les policiers. Ces derniers qui attendaient de le mettre à la disposition de la justice. Le pédophile qui ne mérite pas moins que ça, doit faire face aux conséquences pénales, de sa dérive sexuelle.



source : Linfodrome    |    auteur : Chancelle GOUDALET (Correspondant régional)

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